1. Les types de sols
Le béton ciré : il connait un grand succès dans la rénovation maison depuis quelques années. Ce revêtement ne patine pas dans le temps et il s’accorde avec tous les styles de pièces. Il est très résistant, hygiénique et l’entretien est facile.
Le carrelage : il est très souvent privilégié dans les logements. Il ne craint ni les compressions ni les chocs et il s La moquette
Le sol stratifié : il s’agit d’un support sur lequel est apposé un décor : motif bois, béton, carrelage… il existe une large gamme de motifs et coloris et l’entretien est facile. Cependant, il a une résistance au temps limitée car il ne se rénove pas, il faut ajouter une sous-couche pour bénéficier d’une isolation phonique.
Le parquet massif : Il peut être mince, traditionnel ou en lamelle. Le mince a une épaisseur de 9 à 15 mm, le traditionnel de 23 mm, il est très résistant et celui en lamelles sur chant fait plus d’un mètre de long avec une épaisseur comparable au parquet traditionnel. Le parquet massif est facile à mettre en place lors de rénovation. Il est très esthétique, isolant et chaleureux.
Le sol coulé en ciment : Il est principalement utilisés dans une rénovation maison pour recouvrir de vieux sols qui doivent être égalisés ou rénovés. Le ciment permet de reproduire l’effet du béton lissé.
Le parquet flottant : c’est un revêtement de sol, en bois, ou bien à base de bois, et qui possède une couche d’usure en bois noble. Cette dernière doit être au minimum d’une épaisseur de 2,5mm et sa pose est faite de façon flottante, c’est-à-dire que le parquet n’est pas directement fixé au sol.
Les sols souples
Les sols souples de qualité peuvent représenter une alternative très esthétique et à moindre coût aux sols plus classiques comme le parquet, le carrelage ou encore le béton ciré. En effet, depuis quelques années les revêtements de sol souples imitent à la perfection des matériaux plus nobles tels que le bois, les carreaux ou encore le marbre tout en restant beaucoup plus faciles d’entretien et nettement moins onéreux.
- Le linoeum : il s’agit d’un revêtement à base de produits naturels, résistant, qui offre de multiples possibilités de décors. Le linoléum est composé de résine de pin, de liège, de poudres de bois, d’huile de lin et de pigments naturels. C’est donc une solution écologique, et techniquement plus rigide que les autres revêtements de sol souples. En outre, le linoleum est un matériau pérenne, qui gardera la vivacité de ses couleurs et de ses motifs pendant plusieurs dizaines d’années, y compris s’il est posé dans des lieux très fréquentés.
- La moquette : Elle est confortable et peu coûteuse. Elle offre un confort thermique et acoustique. Il existe de nombreux types de moquettes au point de vue esthétique, elle est bon marché et facile à poser remplace facilement.
- Le sol en vinyle : particulièrement agréable au toucher, se présente sous la forme de rouleaux. En outre, le vinyle est étanche et peut donc être posé dans les pièces potentiellement exposées à l’eau, comme la cuisine, la cave et la salle de bains, contrairement au lino qui n’est pas parfaitement imperméable. Très résistant, le vinyle peut être adapté au sol d’un garage par exemple, où il supportera le poids d’un véhicule sans s’abîmer.
- Le sol souple PVC : il est facile à poser sous forme de lames ou de dalles mais il existe également en rouleaux.
- Le sol en résine : particulièrement efficace en terme d’isolation phonique, se coule directement sur le plancher et s’étale de façon uniforme ou s’achète en rouleaux.
2. Les types de revêtements muraux
Les revêtements de mur jouent un rôle de taille dans une rénovation maison et dans la décoration d’un logement aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. Ils contribuent en effet à créer différentes ambiances dans chaque pièce. Ainsi, le choix de leur matériau, leur couleur, leur texture ou leur motif ne doit pas être laissé au hasard..
Différents types de revêtements muraux pour votre rénovation maison :
Les carrelages muraux : c’est souvent le revêtement mural privilégié dans les cuisines et les salles de bain pour son étanchéité et sa grande facilité d’entretien. La pose du carrelage est délicate car les carreaux doivent être bien alignés.
Les enduits muraux : L’enduit n’est pas utilisé qu’en rénovation ou pour reboucher des trous. Il existe aussi des enduits muraux décoratifs : une bonne solution pour colorer et personnaliser vos murs ! L’enduit peut être à base d’argile, de chaux, de ciment, de plâtre…
Les enduits acryliques ou à cirer : ils existent en plusieurs teintes, grâce à l’ajout de pigments dans le mélange. Certains enduits sont prêts à l’emploi, d’autres doivent être préparés sur le chantier.
Les enduits marbrés : Enduit composé de marbre blanc pulvérisé, de chaux éteinte et de craie gâchés dans l’eau, ou de plâtre très fin dissous dans une colle forte, pouvant prendre les nuances colorées de divers marbres, acquérant une grande dureté.
Les plaquettes de parement pour murs : ils sont d’une épaisseur similaire à des carreaux de carrelage (environ 1,5 cm), et permettent d’habiller élégamment un mur, pour donner l’illusion d’un mur de pierres.
Il existe différents types de plaquettes, tant au niveau de la finition que de la composition :
- Plaquettes en quartz,
- Plaquettes en pierre naturelle,
- Plaquettes imitation pierre, en plâtre ou en béton,
- Plaquette de parement aspect ardoise, briquettes ou motifs géométriques.
Il existe différents effets de peinture : mat, satiné ou brillant.
Plus la peinture est brillante, plus le mur doit être parfaitement préparé. La peinture mate tolère les petits défauts, la peinture satinée demande une préparation correcte du mur, et la peinture brillante exige un mur parfaitement lisse pour que le résultat soit propre.
1. Moderniser ou installer un nouvel escalier
Bien que l’escalier permette la circulation d’un étage à un autre, c’est aussi une décoration à part entière en intérieur. Pour une rénovation maison en vue d’une optimisation d’espace, vous pouvez changer la forme de votre escalier (à limon central, tournant, hélicoïdal, suspendu ou droit).
2. Les différents types d’escaliers
Lorsque vous êtes à la recherche d’un escalier à installer chez vous, vous risquez de vous perdre dans la multitude de choix qui s’offrent à vous entre les différents types d’escaliers, les matériaux et les revêtements possibles.
- Escalier droit : C’est le plus classique. Il est facile à concevoir et à installer, mais son inconvénient majeur est de nécessiter beaucoup de place.
- Escalier tournant : Lorsqu’on manque de place ou que la configuration de la pièce l’exige, l’escalier 1/4 tournant, 2/4 tournant ou demi-tournant est une solution également très esthétique, qui peut être mise en œuvre avec tous types de matériaux.
- Escalier hélicoïdal : Dans les plus petits espaces ou pour de simples raisons d’esthétique, l’escalier hélicoïdal se fait particulièrement discret, d’autant qu’il n’a pas besoin d’être appuyé sur un mur, ce qui permet de le placer où on veut.
- Escalier à limon central : Ce type d’escalier fait partie des modèles les plus légers et esthétiques. Les marches sont posées sur un limon central unique, ce qui lui donne un aspect très épuré.
- Escalier suspendu : Ses caractéristiques techniques sont exigeantes, mais il est particulièrement esthétique et s’intègre facilement à tous les intérieurs.
Ces différents types d’escaliers peuvent être réalisés en pierre, en bois, en métal, en verre… avec ou sans contremarches, tout est possible.
3. Embellir ses portes en intérieur
Vos portes sont vos premiers meubles. Avec une bonne notion d’esthétique vous pouvez réussir leur rénovation en un rien de temps. La porte d’entrée peut être changée avec du PVC également si vous avez choisi ce dernier pour la fenêtre. Néanmoins, pour une rénovation partielle, le ponçage et des travaux de peinture suffit pour remettre en état vos portes.
4. Agencer un espace
La menuiserie intérieure contribue à l’agencement d’espace. La rénovation maison passera dans les pièces à vivre et dans la salle de bain : placards, dressings, étagères, les rangements divers, les mezzanines, les parquets ainsi que les meubles de salle de bain.
5. Aménagement cuisine
La cuisine est cette pièce où l’on circule quotidiennement. Le risque d’endommager la menuiserie y est élevé.
Si vous souhaitez obtenir une cuisine au design plus à jour, il vous faut alors rénover vos mobiliers pour qu’ils soient pratiques et plus ergonomiques. Les experts A&M concept peuvent vous élaborer une perspective informatique en 3 dimensions pour vous donner un aperçu des changements à effectuer.
Un expert de l’aménagement de cuisine vous sera d’une grande aide pour la suite des travaux. Le professionnel de la menuiserie vous conseillera sur l’aspect design, mais surtout sur la disposition adaptée des mobiliers de cuisine.
Alors, vous imaginez déjà votre nouvel intérieur ? N’attendez plus et décrivez-nous votre projet !
1. La pose encastrée
Tous les fils et appareillages (interrupteurs, prises,) de l’installation sont encastrés dans les murs (à l’aide d’une rainureuse de préférence munie d’un aspirateur qui fonctionne en même temps).
L’intervention est lourde car il faut impérativement démonter l’installation en place, recréer tous les points lumineux, en centre, en applique, recréer les emplacements d’interrupteurs, de boutons poussoirs, et éventuellement déplacer l’ancien tableau (les nouveaux tableaux munis de leurs disjoncteurs modulaires et autres équipements obligatoires prennent souvent 2 fois plus de place que les anciens). Ce type de rénovation génère bien entendu de la poussière, des nuisances sonores (prévenez vos voisins si vous en avez !) et vous obligera à revoir la décoration en totalité.
2. La pose en saillie (sous moulure)
Cette intervention est plus légère que la précédente (pas forcément plus rapide) mais présente l’inconvénient de faire courir partout où vous souhaitez des prises, interrupteurs, … des moulures en PVC afin d’acheminer par le biais des fils, le courant vers l’élément électrifié.
C’est en principe une solution plus économique qu’une installation électrique dite « encastrée » mais qui présente l’inconvénient majeur de ne pas être très jolie en particulier si vous souhaitez des appliques, lampes centres, car il faut acheminer les fils et la moulure qui va avec ! Vous pouvez, si c’est l’installation que vous souhaitez, demander à l’électricien qui intervient de positionner les interrupteurs, prises, en encastré, le rendu sera un peu plus esthétique.
1. Le tube en cuivre
Parmi les matériaux auquel vous pouvez choisir, il y a le tube en cuivre. On utilise le tube en cuivre principalement en tant que tuyau d’alimentation d’eau, chaude ou froide. Mais une tuyauterie en cuivre présente de nombreux autres avantages. En effet, une tuyauterie en cuivre est recyclable. En matière de solidité, le cuivre est également très solide. D’où sa résistance à l’eau chaude et à l’eau froide. Et même durant les hivers, le réseau d’eau d’une maison ne sera pas perturbé en le choisissant. Sur le plan esthétique, le cuivre est tout aussi intéressant. En gros, il s’agit d’un matériel fiable sur lequel on peut compter à long terme. Par contre, sa mise en œuvre exige du matériel et des compétences.
2. Le tube en PVC
Mis à part le cuivre, vous avez également comme matériau le PVC. On utilise principalement ce type de matériel pour la distribution et l’évacuation d’eau. Il s’agit d’un matériau très prisé du fait de son faible coût par rapport aux autres. Le PVC est une solution très plébiscitée de ceux qui ont un budget assez limité. Ce matériel est également facile à transporter en plus d’être assez simple à monter. Sur le plan esthétique, le PVC permet aussi de nombreuses possibilités. On notera surtout sa possibilité de pouvoir être peint. Aussi, il isole très bien. Néanmoins, sa mise en place exige beaucoup de technique.
3. Le tube en PER
Les tubes en PER quant à eux conviennent particulièrement aux conduits de chauffage. Mais ils peuvent également convenir pour la distribution d’eau dans votre habitation. Ce type de tube présente également de nombreux avantages. Par exemple, il ne s’entartre pas facilement et ne présente pas non plus de problème de corrosion. Les tubes en PER réduisent également les nuisances sonores. Ce qui est un grand plus pour une habitation en région parisienne où le bruit de tuyauterie peut devenir assez pénible. Mais si tout porte à croire qu’il s’agit de la tuyauterie parfaite, la réalité est loin de l’être. En effet, les tuyaux en PER dispose d’une courbe de cintrage peu importante.
4. Le tube multicouche
Il s’agit d’un autre type de tuyauterie qui permet d’assurer les conduites de chauffage ainsi que la distribution de l’eau. On peut dire que ses qualités sont identiques à celles du tube PER. Seulement, son installation dans le cadre d’une rénovation maison exige des outillages spéciaux pour les raccords. Aussi, le diamètre entre les différents tubes ne dispose pas de normalisation. Dans ce fait, il vous faut l’aide d’un plombier professionnel pour installer ce type de tube.
1. Chauffage collectif
Dans le cas où vous êtes raccordée au chauffage collectif, vous ne pouvez plus changer grand-chose concernant votre réseau hormis les radiateurs et leur emplacement. Attention cependant pour tout changement il faudrait prévoir une coupure de votre réseaux par votre immeuble.
2. Chauffage individuel
Il y a plusieurs type de chauffage individuel possible pour la rénovation maison et appartement
Les radiateurs électriques
Cet appareil fait partie des plus utilisés. Dans la plupart des cas, les appartements et les habitations modernes optent pour le radiateur électrique pour cette raison. De plus, il reste beaucoup plus esthétique par rapport aux autres types d’appareils. Cependant, ils consomment rapidement trop d’électricité. Ainsi pour alléger les dépenses, il est possible de choisir des radiateurs à inertie, des radiateurs radiants ou encore des radiateur rayonnant ou à accumulation.
Le chauffage au gaz
Apprécié du grand public, il possède toutes les qualités du chauffage central au gaz. Toutefois, pour avoir du gaz, il est nécessaire d’être rattaché au réseau du gaz de ville, chose qui, parfois, peut ne pas être évidente. Nous connaissons tous la chaudière à gaz classique. Néanmoins, la chaudière gaz à condensation permet de réaliser plus d’économies d’énergie grâce à son meilleur rendement. De plus, elle est simple d’utilisation et d’installation.
1. La ventilation naturelle
La ventilation naturelle était utilisée avant la généralisation des systèmes de VMC. Elle utilise le principe du tirage naturel ou les dépressions d’air créées par le vent. Avec un système de ventilation naturelle, l’air extérieur entre dans la maison à travers des grilles d’aération situées en bas du bâtiment, dans les pièces principales de l’habitation. L’air circule dans le logement et monte au fur et à mesure qu’il se réchauffe, pour être évacué par des grilles d’aération placées en hauteur.
2. Les systèmes de ventilation mécanique
La ventilation à simple flux
Le système de ventilation à simple flux est le plus utilisé actuellement. Il comporte des bouches d’extraction autoréglables reliées à un moteur. Ce dernier assure l’extraction de l’air chargé d’humidité provenant de l’intérieur de l’habitation. L’alimentation en air extérieur se fait la plupart du temps grâce à des entrées d’air situées sur les fenêtres. Peu onéreuse et facile à installer, la VMC simple flux fonctionne en continu et peut provoquer des courants d’air. Elle est parfois un peu bruyante et occasionne des déperditions de chauffage.
- La VMC hygroréglable : règle son débit d’air en fonction de l’hygrométrie de son environnement. Les déperditions d’énergie sont ainsi moins importantes qu’en utilisant une VMC simple flux classique, car le flux d’air est ajusté en permanence. Il existe 2 types de VMC hygroréglables :
- La VMC hygro de type A : seules ses bouches d’aération s’ajustent au taux d’humidité. Ses entrées d’air sont semblables à celles d’une VMC classique à simple flux. L’apport d’air est donc constant même si l’extraction d’air est régulée.
- La VMC hygro de type B : à la différence de celle de type A, ses entrées d’air sont également hygroréglables permettant une régulation plus performante de son débit. Les déperditions thermiques sont aussi plus faibles.
La ventilation à double flux
La ventilation à double flux est constituée de deux réseaux de circulation d’air. Elle ne comporte pas plusieurs entrées d’air disposées dans les pièces principales, mais une seule, installée généralement dans les combles. Son grand avantage est de permettre de récupérer les calories de l’air vicié au moyen d’un échangeur thermique, sans que les deux circuits ne se mélangent, afin de réchauffer l’air frais arrivant de l’extérieur. Ainsi, elle permet d’éviter tout courant d’air et de limiter les déperditions d’énergie dans le logement. La VMC double flux est un système plus complexe à installer et plus encombrant. Son débit d’air peut être ajusté pour chaque pièce, afin d’assurer une efficacité maximale.
1. Climatiseur mobile
C’est une solution de climatisation d’une pièce immédiate – sans installation – seulement elle a une efficacité relative, elle est assez inconfortable sur le plan acoustique et enfin elle n’est pas très esthétique. C’est le climatiseur mobile sur roulettes !
Ce climatiseur mobile est monobloc et il ne requiert pas d’installation particulière. Il doit être simplement branché sur une prise électrique.
Comme inconvénient, il sera nécessaire de faire sortir une gaine de l’ordre de quelques centimètres (entre 10 et 5 cm) à l’extérieur en entre-baillant la fenêtre ou la porte. D’où une entrée de chaleur parasite et surtout, en milieu urbain, le niveau sonore de l’extérieur qui rentre dans la pièce !
2. Climatiseur split-système
Pour une pièce à climatiser, c’est le climatiseur mono-split avec une unité intérieure et une unité extérieure qui est le plus souvent utilisé. Il peut climatiser une pièce ainsi que la chauffer en hiver car aujourd’hui la plupart des climatiseurs split-system sont réversibles c’est-à-dire fonctionnent en mode pompe à chaleur.
En copropriété, le problème sera de faire en sorte que l’Unité Extérieure du climatiseur soit « invisible » et « inaudible ». Car l’installer en façade vous expose au Règlement de Copropriété qui exclut de telles pratiques. En revanche, il n’interdit pas de disposer de son balcon, de sa loggia ou d’une cour intérieure à condition que l’unité extérieure de climatisation ne pose aucun problème visuel et acoustique.
Différentes astuces existent pour dissimuler l’unité extérieure de son climatiseur :
La première solution si vous disposez d’un balcon c’est d’implanter le climatiseur dans un angle où personne ne le voit. Idem dans une loggia. Attention de ne pas gêner un voisin du fait du bruit occasionné par le climatiseur. S’éloigner le plus possible et installer des écrans acoustiques si besoin.
Si vous disposez d’une cour intérieure, il s’agira de constituer « une grille » devant votre unité extérieure de climatisation n’empiétant pas dans la partie extérieure et en vous plaçant derrière cette grille. Des travaux d’aménagement de maçonnerie peuvent être requis pour bien vous isoler vous-même du bruit de cette unité.